mardi 27 mars 2012

pique nique à thouars

Se rencontrer dans un moment de convivialité,

    C'est ce que vous propose l'équipe d'animation du Front de Gauche du nord Deux-Sèvres autour d'un pique-nique samedi prochain à Thouars sur la prairie du quartier des Capucins. Promis, le beau temps sera de la partie ; quoi de plus agréable qu'un déjeuner entre amis (tous les détails sur l'affiche jointe). Nous vous offrons l'apéritif. Avec en prime, si vous le souhaitez, la possibilité de discuter avec nous des propositions du Front de Gauche et de son candidat Jean-Luc Mélenchon.

 
Pour ceux qui ne connaissent pas le quartier des capucins vous trouverez un plan d'accès en cliquant sur le lien  Quartier des Capucins
En venant de Bressuire : tourner à droite après le pont sur le Thouet (direction Saumur) ; en haut de la côte traverser le rond-point (2ème sortie) puis au rond-point suivant prendre la 4ème sortie sur le boulevard de Hannut. Remonter ce boulevard et prendre la deuxième à droite sur le boulevard des Capucins ; vous êtes arrivés ; la prairie est sur votre gauche.

Faites connaître cette initiative en transférant ce message à vos listes d'amis et de connaissances.


Au plaisir de vous rencontrer samedi.

Très cordialement
L'équipe d'animation du Front de Gauche

vendredi 23 mars 2012

A noter sur vos agendas !

Bonjour à vous tous,

A noter sur vos agendas !

Comme convenu lors de la réunion du Comité de Campagne mercredi dernier, je viens de faire le nécessaire auprès de la mairie de Cerizay qui met à notre disposition, gratuitement, une salle de réunion :

Salle Victor HUGO - Place du St Père - Avenue du 25 Août 44 - CERIZAY.
le jeudi 5 avril
Nous pourrons l'occuper dès 18H00. Ce qui fait que nous pouvons envisager d'y tenir :

1 - De 18H00 à 19H30 : Réunion du Comité de Campagne.

2 - De 20H30 à 22H30 : ASSEMBLEE  CITOYENNE sur le thème suivant :  LE  DOSSIER  HEULIEZ  et  LE  PROJET de REINDUSTRIALISATION  DU  FRONT  DE  GAUCHE.

Nous sommes preneurs de toutes bonnes initiatives pour une pleine réussite de cette soirée.

Cordialement.

Elie MAUDET.

jeudi 15 mars 2012

Après l'assemblée citoyenne du mardi 13 à Bressuire

Communiqué de presse du Front de Gauche nord Deux-Sèvres

Les assemblées citoyennes du Front de Gauche du thouarsais et du bocage se sont réunies mardi 13 mars à Bressuire. 36 citoyens du nord Deux-Sèvres ont participé à cette réunion où ont été débattues les modalités des actions qui seront menées dans les prochaines semaines pour porter les propositions du Front de Gauche tant pour l'élection présidentielle que pour l'élection législative dans la 3ème circonscription. Ont ainsi été décidés :

  • La création d'un "comité de campagne" pour l'élection législative
    Celui-ci se réunira mercredi 21 mars à Thouars
  • La désignation de deux porte-parole des campagnes du Front de Gauche ; il s'agit de Jean-Pierre GAY (06 07 88 50 69) et d'Elie MAUDET (06 70 51 95 30)
  • La participation à l'assemblée générale de la Confédération Paysanne le 14 mars à Secondigny
  • De répondre à l'invitation du Mouvement Rural de la Jeunesse Chrétienne le 25 mars à Cerizay pour présenter le programme du Front de Gauche
  • La tenue d'une assemblée citoyenne le 23 mars à Thouars sur le thème "Pour une nouvelle démocratie ; vers la 6ème République" puis d'une autre début avril dans le bocage sur le thème "Quelle réindustrialisation dans le nord Deux-Sèvres ?"
  • L'organisation d'un pique-nique citoyen du Front de Gauche le samedi 31 mars à Thouars
  • L'intensification de la campagne d'affichage
  • La mobilisation pour participer au meeting départemental du Front de Gauche le 20 avril à Châtillon-sur-Thouet avec la participation de Jacques Généreux, conseiller économique de Jean-Luc Mélenchon.
 
Jean-Pierre GAY - Elie MAUDET - Gérard PENIT

Le front de Gauche nord Deux-Sèvres à l'AG départementale de la Confédération Paysanne

Tibo LALU, Pascal LUMINEAU, Christian METAIS et moi-même avons représenté le Front de Gauche à l'assemblée générale de la Confédération Paysanne mercredi 14 mars à Secondigny.
Se sont exprimés à la tribune le Front de Gauche, le Modem, le PS et EE-LV. L'UMP avait décliné l'invitation. Le député Jean Grellier était présent dans la salle.

Vous pourrez lire (fichier joint) le texte de mon intervention au nom du Front de Gauche. Le secrétaire régional de la Confédération s'est engagé à publier ce texte ainsi que ceux des autres intervenants dans la revue de la Conf' à usage de ses adhérents.


Fraternellement

Jean-Pierre GAY



AG départementale de la Confédération paysanne
Secondigny – Mercredi 14 mars 2012


Intervention du  Front de Gauche


    Le produire, le produire toujours plus, le produire sans se préoccuper vraiment des réels besoins humains, sans s'interroger sur les conséquences -en particulier environnementales- fut longtemps l'impensé de la pensée de la gauche. Gauche qui ne s'interrogeait pas sur la compatibilité entre le productivisme et la recherche du bonheur humain. Si le Front de Gauche adhère aujourd'hui sans réserve au paradigme de l'écologie politique, cela peut apparaître comme une révolution ; c'est à nos yeux surtout un ressourcement de tout ce à quoi nous croyons. L'ennemi déclaré est le productivisme et le capitalisme qui le porte ; c'est pourquoi le capitalisme vert est à nos yeux un non-sens. la question que l'on doit se poser à tout moment est : que produit-on ? Pour qui ? Pour quoi faire ? Ce que nous produisons est-il bénéfique pour l'homme ? Est-il compatible avec la sauvegarde de notre planète ?
Au productivisme le Front de Gauche oppose la planification écologique. Planifier c'est prévoir et agir sur le long terme, c'est imposer l'intervention collective et normative sur le modèle de développement économique. C'est aussi soumettre l'aide publique à l'économie à des conditions écologiques. En d'autres termes nous voulons redéfinir nos modes de production, de consommation et d'échanges en fonction de l'intérêt général de l'humanité et de l'impact de l'activité économique sur l'éco-système. Cela vaut pour l'ensemble des activités économiques, industrielles et agricoles.

    Pour mettre en œuvre ces objectifs dans l'agriculture il nous faudra agir à tous les niveaux : au plan national d'abord et ceci est possible immédiatement, au niveau européen (réforme de la PAC par exemple) et au niveau mondial où nous nous opposerons à la logique de libéralisation voulue par l'OMC (cycle de Doha).
Au plan national, si nous sommes au pouvoir, nous ferons adopter par le parlement un plan de transition écologique de l'agriculture, en coopération avec les collectivités territoriales. Le fil rouge de ce plan sera de stopper et même d'inverser le processus actuel de concentration foncière de l'agriculture et l'accaparement des terres par un nombre de plus en plus restreint de paysans. Avec pour conséquence la création massive d'emplois dans les domaines de l'agriculture.
Nous procéderons pour ce faire à une refonte des missions, de la gouvernance et des moyens d'intervention des SAFER qui mettront en place des schémas régionaux fonciers agricoles. Ceux-ci auront pour priorité l'installation de jeunes agriculteurs et la consolidation des petites exploitations qui s'inscrivent dans le cadre de la transition écologique de l'agriculture. Pour y parvenir les SAFER auront droit de préemption sur toutes les terres libérées et pourront constituer des réserves foncières à vocation agricole. Nous établirons aussi des partenariats avec les collectivités territoriales pour créer des réserves foncières louées à des agriculteurs ; nous pensons entre autres à la périphérie des grandes villes où nous pourrions promouvoir des « ceintures vertes » pour l'approvisionnement des citadins en produits biologiques au moyen de circuits courts entre producteurs et consommateurs.
Nous mettrons simultanément en place une politique d'aide financière aux jeunes agriculteurs mais aussi un accompagnement technique et professionnel sera développé, notamment pour ceux que vous appelez les « hors cadre familial ». Nous pensons que le tutorat est à cet égard une bonne méthode : on pourrait mettre en relation les agriculteurs proches de la retraite qui n'ont pas de successeurs et les candidats au métier d'agriculteur en leur faisant signer un « contrat de transmission de l'outil de production et du savoir faire agricoles »  (reprise progressive de l'exploitation sur trois ans avec soutien financier incitatif)
Notre plan de transition écologique de l'agriculture comporte bien d'autres mesures que je ne développerai pas pour me limiter aux thèmes que vous avez souhaité mettre en débat. Laissez-moi citer en vrac :
    - un plan de relocalisation de la production de protéines végétales ; il n'est pas
    admissible en effet que nous soyons contraints à importer en grande quantité du
    soja d'Amérique du sud pour nourrir notre bétail. La souveraineté alimentaire, la
    nôtre mais aussi celle de tous les pays sera le pilier de notre politique agricole.
    - L'abandon des objectifs obligatoires d'intégration d'agro-carburants dans la con-
    sommation de carburants fossiles.                                                                      
    - un calendrier de substitution progressive des produits phytosanitaires d'origine
    chimique par des méthodes alternatives.
    - un plan de formation et de conseil technique pour accompagner les agriculteurs
     dans la transition vers une agriculture écologique avec des conseillers indépen-
    dants afin de mettre fin au poids prédominant occupé par les conseillers com-
    merciaux des grandes firmes agro-alimentaires.                                                 
    - un plan de financement national de la nouvelle politique agricole par le secteur     bancaire sous contrôle public, pour appuyer les investissements nécessaires à la
    transition vers une agriculture écologique.
    - Un encadrement des pratiques de la grande distribution en instaurant un prix
    plancher garanti aux producteurs et le plafonnement des coefficients multiplica-
    teurs c'est-à-dire des marges.
    - Un appui au développement des filières alternatives labellisées, vivrières, de
    proximité, biologiques reposant sur une juste rémunération du travail et permet-
    tant au plus grand nombre de bénéficier d'une alimentation de qualité. Nous
    agirons pour que les organismes de restauration collective achètent massivement
    les produits issus de ces filières ; nous réviserons pour cela le code des marchés
    publics, quitte à devoir assumer notre opposition au droit européen de la concur-
    rence.
    - Concernant les OGM le moratoire sera bien sûr maintenu et seront interdites les
    cultures d'OGM qui ne garantissent pas l'absence de dissémination. En revanche
    un cadre favorable aux semences paysannes sera défini ; ceci m'amène à répon-
    dre à votre question sur les semences.

    Depuis le 28/11/2011 les agriculteurs ne peuvent plus utiliser leurs semences récoltées pour les resemer d'une année sur l'autre et les échanger librement, à l'exception de 21 espèces seulement, pour lesquelles ils devront payer une redevance s'ils veulent le faire ! Le Front de Gauche défend la libre utilisation par les agriculteurs de leurs propres semences. Les semences n'appartiennent à personne mais sont un bien collectif issu du travail de sélection ; le droit de resemer est un droit fondamental de l'agriculture garant de la souveraineté alimentaire. Or la loi relative aux certificats d'obtention végétale (loi COV) renforce les droits privés de l'industrie semencière au détriment des droits collectifs des paysans ; elle favorise donc la confiscation du vivant par cette industrie et la régression de la biodiversité. En conséquence le Front de Gauche s'engage -s'il remporte les élections- à abroger cette loi.
Nous proposerons a contrario une nouvelle loi permettant aux agriculteurs de cultiver des variétés de terroirs, utilisées de fait depuis des décennies mais actuellement non inscrites au catalogue car ces semences échappent à la main-mise de l'industrie agro-alimentaire.
Dans le cas où nous ne serions pas au pouvoir le Front de Gauche soutiendra les paysans et leurs organisations syndicales dans les actions qu'ils entreprendront pour exiger l'abrogation de la loi COV.

    Vous nous interrogez aussi sur l'eau et l'irrigation. Je dirais que l'eau, plus encore que les semences, est un bien public. L'eau n'appartient à personne. C'est pourquoi le  Front de Gauche veut créer un grand service public de l'eau qui pourra mutualiser les moyens et les investissements ; il reposera sur une organisation décentralisée et contrôlée localement par les collectivités, les usagers et les salariés. Il faut à la fois protéger les ressources en eau et en assurer une distribution équitable. L'irrigation massive est la conséquence d'une agriculture productiviste que nous combattons. La construction -qui plus est sur fonds publics- de bassines alimentées par des forages directs dans les nappes phréatiques est une fuite en avant que nous dénonçons. Il faut remettre en cause des choix de cultures grandes consommatrices en eau, choix souvent dictés par les lobbies de l'agroalimentaire et par la nature des aides de la PAC (maïs mais pas seulement). Nous prônons donc une irrigation raisonnée et donc limitée, partagée et accordée préférentiellement aux exploitations vivrières et aux systèmes en polyculture-élevage.

   
    A propos de l'élevage qui est bien sûr l'une de vos principales préoccupations. J'ai dit tout à l'heure notre volonté de lutter contre le concentrationisme et le gigantisme ; cela vaut aussi pour l'élevage. Nous préconisons le retour ou le développement de fermes de petite ou moyenne taille, qui plus est en polyculture-élevage pour des raisons évidentes d'autonomie et de mise en place de circuits courts. Ceci nécessite à l'évidence que soient revus les critères d'attribution des primes à l'engraissement ; le seuil de 50 doit être abaissé. Mais le souci principal des éleveurs est le prix auquel on leur achète leur production, qu'il s'agisse de viande ou de lait. J'ai évoqué tout à l'heure l'instauration d'un prix plancher pour les producteurs et la limitation des marges des distributeurs (il faut penser aussi aux consommateurs) par le plafonnement des coefficients multiplicateurs. Si on laisse la négociation s'opérer sous l'égide des lois du marché les producteurs perdront à tous les coups car l'objectif des opérateurs économiques des filières sera toujours d'abaisser les coûts de production pour mieux engraisser -non pas les bovins ou les porcs- mais leurs actionnaires. Il y aura donc nécessité d'intervention de la puissance publique pour fixer les prix plancher. Il faudra aussi agir au niveau européen ; en particulier sur les problèmes de quotas mais là on touche à la PAC à propos de laquelle je vais essayer de donner le point de vue du Front de Gauche.

    Le dossier de la PAC est très complexe pour qui n'est pas quotidiennement confronté aux problèmes de l'agriculture. Notre objectif est que chaque paysan, en France, en Europe et dans le monde puisse vivre décemment des revenus de son travail. Nous savons toutefois que cet objectif ne pourra être atteint avant plusieurs décennies. Mais il faut que les réformes aillent dans ce sens. Nous pensons que ce n'est pas le cas du texte dévoilé le 12/10/2011 par la commission européenne et qui a vocation à réformer la PAC 2014/2020. Le projet de réforme dévoilé s'inscrit malheureusement dans le processus actuel de libéralisation des marchés et entend favoriser la « compétitivité » de l'agriculture européenne dans le cadre incontournable aux yeux de nos dirigeants de la concurrence mondiale libre et non faussée. Pour les centaines de milliers d'agriculteurs européens l'alternative est simple : être ou devenir compétitifs ou bien disparaître. Certes le projet de réforme ne remet pas en cause le système d'aides et propose même un léger « verdissement » de certaines aides. Mais un examen un peu plus attentif montre par exemple que le plafonnement et la dégressivité des aides se situent à un tel niveau qu'in fine rien ne changera vraiment et que le système d'aides continuera à accentuer les différentiels de productivité entre exploitations et actifs agricoles, au lieu de les compenser et de favoriser l'emploi comme pourraient le faire des aides ciblées et liées au nombre d'actifs. En aucun cas cette réforme n'encouragera à une véritable transformation des modes de production.
Le Front de Gauche est favorable à une véritable réforme de la PAC basée sur le principe de souveraineté alimentaire, garantissant des prix rémunérateurs aux producteurs, ciblant les aides sur des objectifs spécifiques (l'emploi, la transition écologique de l'agriculture, …). Il s'opposera donc à cette réforme au Parlement Européen ; mais cette nouvelle PAC ne sera rejetée que si l'ensemble des députés du PSE s'y oppose également. On peut malheureusement craindre que, comme c'est si souvent le cas,PSE et PPE (la droite européenne) s'allient (après quelques modifications à la marge) pour adopter cette réforme qui au demeurant n'en est pas une.
    Il existe malgré tout quelques marges de manœuvre au niveau national pour l'utilisation des aides PAC ; elles seront pleinement utilisées si nous sommes au pouvoir pour promouvoir la transition écologique, l'emploi et les petites exploitations. Une partie des droits à produire (quotas laitiers) et des primes sera progressivement transférée des systèmes d'élevage intensif vers les systèmes organisant une intégration des activités agricoles et d'élevage. Une partie des soutiens permettra de contribuer à l'évolution des achats de la restauration collective.
Enfin nous n'hésiterons pas à déroger à certaines réglementations européennes dont nous estimons qu'elles sont contraires à l'intérêt général comme par exemple :
l'introduction de prix minimums garantis aux producteurs et le plafonnement des marges de la grande distribution.
La révision du code des marchés publics pour rendre obligatoire, chaque fois que possible, l'approvisionnement des organismes publics de restauration collective auprès de filières labellisées, de proximité, biologiques , reposant sur une juste rémunération du travail agricole et permettant au plus grand nombre de bénéficier d'une alimentation de qualité.

Je vous remercie de votre attention.


Vous trouverez l'intégralité de la réflexion du  Front de Gauche sur l'agriculture sur le site www.placeaupeuple 2012.fr/agriculture




Pour le  Front de Gauche nord Deux-Sèvres
Jean-Pierre GAY

lundi 12 mars 2012

> Chers amis, chers camarades,
> 
> Dès le mois de décembre nous avons décidé que nous porterions les  propositions du Front de Gauche et de son candidat Jean-Luc  Mélenchontant dans la campagne présidentielle que dans celle de l'élection législative. Les 22 et 24 février nous avons fait le choix 
que les candidats du Front de Gauche dans la 3ème circonscription seraient désignés par notre assemblée citoyenne au lieu d'être présentés  par les organisations politiques, celles-ci (FASE, PCF, PG) restant bien  sûr des soutiens actifs des candidats. Il nous faut maintenant mettre en  oeuvre ces décisions, tout en poursuivant nos débats thématiques sur le  contenu du programme partagé.
> Ce sera l'objet de notre prochaine réunion à laquelle nous souhaitons  que vous participiez très nombreux :
> 
> * Assemblée citoyenne du thouarsais-airvaudais et du bocage
> _Mardi 13 mars 2012 à 20 h 30_
> Salle polyvalente, impasse des Hardilliers à Bressuire Plan d'accès 
> 
> 
> *
> La soirée pourrait se dérouler en deux temps :
> 
> _*1. Election législative*_
> 
> * Rappel des décisions prises les 22 et 24 février
> * Premier échange sur les candidat-e-s potentiel-le-s
> * Création d'un comité de campagne et désignation de porte-parole
> * Premier débat sur les contenus de la campagne
> 
> _*2. La problématique de la 6ème république*_
> Nous ne pourrons mardi qu'ébaucher ce vaste sujet. Le débat 
> devra donc se poursuivre dans de nouvelles assemblées citoyennes. L'une 
> d'elles est d'ores et déjà programmée
> à Thouars le vendredi 23 mars à 20 h 30 ; vous y êtes tous invités.
> 
> Très cordialement
> Jean-Pierre GAY - Elie MAUDET - Gérard PENIT